Retrouvez chaque jeudi durant l’année Bicentenaire une brève qui évoquera un événement, un personnage ou encore un objet relatif à l’histoire de l’École des Mines de Saint-Étienne. Les dépêches de la semaine associées relateront d’autres éléments marquants de la semaine.
L’École des Mines de Saint-Étienne est une école formant des ingénieurs civils des mines. Depuis 1817, les élèves portent un uniforme. Le port non obligatoire fut selon les périodes plébiscité, négligé ou rejeté. Les dernières manifestations auxquelles les élèves ingénieurs ont participé, 11 novembre 2015, Sainte-Barbe, lancement du Bicentenaire et Téléthon 2015, ont reflété le véritable engouement actuel pour l’uniforme. Cette brève revient sur l’histoire de ce costume.
Lire la suiteEn 1921 était mis à l’eau le « Claudius Magnin », minéralier de 3 300 tonnes, armé par les Forges et Aciéries de la Marine et d’Homécourt, Saint-Chamond (Loire). Ce navire évoquait le nom d’un grand patron, ancien élève de l’Ecole des Mines de Saint-Etienne décédé, il y a 99 ans exactement, le 16 décembre 1916.
Lire la suite« Nous serions très heureux si vous vouliez bien venir passer la veillée de Noël avec nous et réveillonner au sortir de la messe de minuit. Nous serons entre amis et pourrons causer de choses sérieuses. » Ainsi commence l’invitation du directeur de l’Ecole des Mines Albert Chipart à ses professeurs en ce noël 1920 imaginé par les élèves rédacteurs du troisième numéro de la toute jeune revue « Le Pic qui chante ».
Lire la suiteLe 1er janvier 1931, le professeur de géologie André Demay quitte l’Ecole des Mines de Saint-Etienne en cours d’année pour s’en aller remplacer à l’Ecole des Mines de Paris son maître en sciences de la Terre, Pierre Termier. Les premières années stéphanoises l’avaient incité à travailler sur les structures géologiques des Cévennes ce qui fit de lui, par la suite, un spécialiste reconnu de la géologie structurale. Il avait également fait ses premières armes d’enseignant attentif.
Lire la suiteLe 10 janvier 1896, la Société Amicale de Secours des Anciens Elèves de l’Ecole des Mines prit le nom de Société Amicale des Anciens Elèves en élargissant par là-même son domaine d’action. Mais son histoire avait commencé une quarantaine d’années auparavant.
Lire la suiteLe 18 mars 1883, la France suspend le projet de tunnel sous La Manche. L’ancien élève de l’Ecole des mines de Saint-Etienne, Ludovic Breton avait réalisé une galerie de 1 839,60 m, alors que les Anglais de la Submarine Continental Railway Company, dirigés par Edward Watkin, avaient foré environ 2 000 mètres depuis Shakespeare-Cliff.
Lire la suiteDepuis 1817, les élèves non stéphanois se logeaient par eux-mêmes en ville. Ils n’en éprouvaient pas de difficultés, mais les logements étaient souvent plus que spartiates. Enfin le 1er avril 1939, 32 des 82 chambres de la première Maison des élèves sont achevées. Une nouvelle page de l’histoire des élèves peut s’écrire.
Lire la suiteCertains l’affirment : le photographe Nadar fut diplômé de l’École des Mines de Saint-Étienne. Dans l’annuaire des anciens élèves de 1882, il est spécifié qu’il est à cette époque « peintre dans la Moselle ». Par la suite, cette information sera remplacée par « photographe » à Paris. Pour en finir avec cette information relayée depuis des années (Discours de Pierre Chevenard 30 mai 1954, Revue des Ingénieurs, mai 1960, annuaire des anciens élèves…), une brève sur le mythe Nadar.
Lire la suiteEn lien avec l’AMOPA, Association des Membres de l’Ordre des Palmes Académiques, une dictée du Bicentenaire a été proposée au personnel et élèves de l’Ecole des Mines de Saint-Etienne. Une occasion pour revenir sur l’histoire des dictées et compositions françaises proposées lors des concours d’admission
Lire la suiteArrivé à Saint-Étienne en avril 1837, Claude François Xavier Roussel-Galle est le deuxième directeur de l’École. En raison de la longévité et par l’action qu’il a menée, son rôle a été important pour l’École. Pourtant les choses avaient mal débuté.
Lire la suiteLe 12 avril 2010, Hakima El Haïté a soutenu ses recherches devant un jury franco-marocain et a obtenu le grade de docteur de l’École des Mines de Saint-Étienne. Aujourd’hui elle est Ministre déléguée auprès du Ministre de l’Énergie, des Mines, de l’Eau et de l’Environnement chargée de l’Environnement et présidente de la COP 22 qui se déroulera à Marrakech en novembre 2016.
Lire la suiteIl y a 94 ans, les samedi 7 et dimanche 8 mai 1921, l’École nationale des Mines de Saint-Étienne, qui n’était pas encore supérieure, célébrait son centenaire. Entre les lendemains de guerre et la construction d’une nouvelle école, chacun espérait en un avenir meilleur…
Lire la suiteAu lendemain de la guerre, le monde ouvrier stéphanois vient d’élire une municipalité « Bloc Républicain des Forces de Gauche », plaçant ses espoirs dans un changement politique et social radical. Le patronat local, inquiet, craint le pire, il se prépare à résister.
À partir du 28 février 1920, et à nouveau le 1er mai, les élèves de l’Ecole des Mines de Saint-Etienne se mettent au service de la Cie PLM pour remplacer les grévistes dans les gares.
Le 11 mai 1958 au matin, une cérémonie est organisée à l’École des Mines de Saint-Étienne pour la remise officielle par la société métallurgique d’Imphy à l’Association des anciens élèves, d’un buste d’Henri Fayol, ancien élève. Louis Neltner, directeur de l’École, déclare alors : « Je suis heureux de recevoir le buste de Henri Fayol dans ce panthéon industriel que nous sommes en train de devenir. »
Lire la suiteLe lundi 30 mai 1898 au matin, le Président de la République Félix Faure visite l’École des Mines à Chantegrillet et salue les élèves. Les caméras Lumière étaient là.
Lire la suiteAu début des années 1960, les trois Ecoles des Mines de Paris, Nancy, Saint-Etienne et l’Ecole de Géologie de Nancy ont éprouvé le besoin de s’extraire de leur étroite chapelle, d’extirper tout esprit concurrentiel. En mai 1961, un premier événement se met en place. Le Cartel des Mines devient réalité.
Lire la suiteFélix Devillaine est le portait du directeur de mines parfait. Il est « vénéré » par ses ouvriers, tant pour son courage, que ses capacités de négociation et l’amélioration de leur condition de vie. Lors de son départ en retraite, les ouvriers lui organisent une véritable procession de la place de la mairie de la Ricamarie jusqu’à Saint-Étienne, le samedi 22 juin 1895, veille de la Saint Félix. Deux mille ouvriers défilent derrière une reproduction en fleur du puits Devillaine, des drapeaux et une fanfare.
Lire la suitePremière ingénieure d’une grande école
Née le 4 juin 1896 à Paris d’une famille d’origine stéphanoise, Marcelle Schrameck est la première élève femme à intégrer une école d’ingénieurs, l’École des Mines de Saint-Étienne qui rouvre ses portes, en ce mois de novembre 1917, après trois années de guerre…
Le 2 août 1816 est proclamée l’ordonnance royale donnant création d’une École des Mineurs à Saint-Étienne. Une décision importante dans l’industrialisation de la France…
Lire la suiteL’Ordonnance de 1831 reconnait implicitement que l’École de Mineurs de Saint-Étienne n’est pas l’École pour maitres-mineurs officiellement mise en place à sa création. La qualité de l’enseignement et le succès des élèves consacrent la vision de Louis Antoine Beaunier d’une école pratique pour des ingénieurs. La conséquence de ce nouveau statut est qu’il n’existe donc pas d’école pour former la main-d’œuvre ouvrière des mines.
Lire la suiteIl y a deux cents ans, dans un mémoire du 26 janvier 1816, Louis-Antoine Beaunier expose sa vision d’une nouvelle école des Mines. La réponse du Conseil général des Mines intervient le 7 mars 1861.
Lire la suiteLe 19 août 1816, Louis Antoine Beaunier est nommé directeur de l’École des Mineurs instituée par l’ordonnance royale du 2 août. Celui-ci marqua profondément les caractères de l’établissement jusqu’à ce jour. Le 7 août 1819, il prononce le premier discours de remise des prix de l’École…
Lire la suiteUne ordonnance du 26 février 1823 concède perpétuellement la première ligne de chemin de fer d’Europe continentale à la compagnie fondée par Louis Antoine Beaunier à la suite de sa demande déposée le 5 mai 1821. Le 30 juin 1824, une ordonnance approuve le tracé d’une vingtaine de kilomètres entre Saint-Étienne et Andrézieux. Ce tracé épouse au maximum la topographie du terrain afin de limiter les frais.
Lire la suite« Parmi les belles et grandes choses de la Terre, ce sont les montagnes, peut-être, les nobles et puissantes montagnes, qui parlent le plus éloquemment aux hommes de stabilité, d’immutabilité, de pérennité » ainsi s’exprimait Pierre Termier, professeur à l’École des Mines de Saint-Étienne de 1885 à 1894…
Lire la suiteLe 2 décembre 1870, Armand du Bourg, ancien élève périt dans un combat de la guerre franco-prussienne de 1870. Il s’agit de la première victime de l’École à décéder au cours d’un conflit militaire.
Lire la suiteLouis Neltner fait partie des personnalités majeures de l’histoire de l’École des Mines de Saint-Étienne, professeur entré en 1931 puis directeur de l’École (1943-71). Cette brève revient sur sa passion de la montagne…
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